« Pourquoi le prix du pétrole reviendra vers les 30$ le baril | Accueil | Les superhéros sont-ils des êtres humains? Une affaire d'État! »

16 août 2008

Commentaires

Flux Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.

Tym Machine

Justement on pouvait lire la semaine passée dans la Presse justement dans un cahier spécial que Jean Leloup était parti au Viet Nam avec 7-8 acteurs pour tourner un long métrage et cela sans une maudite cenne du gouvernement.

Jean Leloup déteste d'ailleurs ce régime où on vous subventionne mais on vous regarde de proche, on vient vous voir sur les lieux du tournage et les fonctionnaires vivent dans vos shorts comme s'ils faisaient parti de la boite.

Comme de quoi que ce n'est pas que le klondike le monde des subventions gouvernementales

Gilles Guénette

Extrait de l'article en question (Paul Journet, «Jean Leloup: le retour du fauve insoumis», La Presse, 09 août 2008)

Leloup est retourné au Vietnam et à Bangkok avec six acteurs pour réaliser son premier long métrage, Karaoké Dreams (anciennement Ice Cream, mettant en vedette Huy Phong Doan et Violette Chauveau). [...]

«Si c'est burlesque ou dramatique? Tout ça, répond Leloup. C'est fucké, en fait. Je me suis roulé à terre de plaisir en tournant la scène finale dans la rizière avec ma petite caméra HD.»

Car Karaoké Dreams n'a reçu aucune subvention de «papa gouvernement». Recevoir la visite d'un ver solitaire lui aurait autant plu. «Les institutions m'ennuient, elles m'ennuient, elles m'ennuient, avec leur paperasse et leurs choses plates. Moi, je fais mes trucs seul avec peu de budget, je m'amuse comme un cochon et j'exige qu'on ne m'emmerde pas. Je ne veux rien savoir d'une équipe de 40 camions remplis de gars qui attendent leur chèque.»

http://www.cyberpresse.ca/article/20080809/CPARTS/808090647/1017/CPARTS

LBII

Sujet très intéressant, mais tellement sentimental comme débat que ça m'en a presque valu une chicane de couple! La culture au Québec a une aura de sainte-nitouche. Simplement penser « s'attaquer » aux artistes et à leurs privillèges, parce que sont dont pauvres, font dont pitié, ça me semble aussi bien accepté que de se déclarer mysogine. Ce billet est du bonbon, et ma propre critique du sujet m'a valu les foudres de quelques personnes sur mon propre blogue aussi.

Duke

Tu as bien raison. J'ai hâte que les films soient payés par le privé, genre les compagnies. Comme cela, ces films nous aideront à consommer les bons produits et à faire les bons choix...

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Citations

  • « L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde. »

    – Frédéric Bastiat, 1848

Visitez le QL

Ma Photo

À propos du Blogue du QL

Faites une recherche


Groupe Facebook