« Industrie automobile: on devrait laisser la destruction créatrice faire son oeuvre | Accueil | Le fil de discussion libre de janvier »

05 janvier 2009

Commentaires

Flux Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.

Cybertarien

Je ne connaît aucun auteur Canadien et puis, en ce qui concerne les auteurs Québécois, je ne connaît que Geneviève Guèvremont et son oeuvre Le Survenant.

Plattitude monumentale qu'on était obligés de lire au cégep.

Moi, les auteurs que je préfère écrivent des livres de mathématiques, de physique et d'informatique.

Je connais Claude Delannoy mais c'est un Européen.

Je lis des livres utiles qui m'apprennent quelque chose d'utile, je ne lis pas des romans, cela ne sert à rien.

Jean-François Grenier

Je suis pratiquement incapable de donner la nationalité des auteurs de ma bibliothèque à part pour quelques rares exceptions lorsque le pays de l'auteur est clairement référencé dans l'ouvrage. En plus, j'achète mes livres par Amazon, donc je ne paye pas de taxe du Québec de toute façon.

Vive la mondialisation, j'essaie de lire le meilleur, pas celui qui a été écrit le plus près de moi.

Et j'ai pas l'impression que je suis le seul, encore un beau coup électoral pour "montrer" que le gouvernement fait quelquechose pour "sauver la culture québécoise".

Bobjack

Cybertarien> Pareil pour moi, j'attends avec impartience que le gouvernement intervienne pour mon plus grand bien et impose une taxe de 50% sur les livres provenant de l'extérieur. Tant qu'a y être, demander aux FAI d'intercepter les requêtes HTTP/DNS vers google et les réenvoyer sur toile.ca :D Sans oublier de bloquer amazon

Steven

Je crois que les Canadiens ont un comportement sain en ce qui concerne l'achat d'un livre. Imaginez un instant qu'une personne se force à lire un livre tout simplement parce qu'il vient de "chez nous". Ce serait un peu niaiseux. On lit ce qui nous interesse peu importe sa provenance et c'est tout... Ça commence à sonner comme le gouvernement chinois qui avait interdit tout ce qui était de culture occidentale lors de la révolution.

Steven

Il me semble aussi que la plupart des livres québécois des dernières années ayant eu un succès ont tous un même pattern: ce sont tous des livres du terroir où les femmes sont victimes des méchants hommes. Les seuls bons hommes dans ces livres sont innaccessibles pour une raison ou pour une autre. C'est l'amour impossible...

Foutaises

@Bobjack,

Vous aussi vous avez remarqué qu'à toutes les fois que le gouvernement nous vole notre argent c'est pour notre bien et qu'à chaque fois que le gouvernement veut notre bien il le prend ?

Foutaises

Oui mais Steven, le gouvernement VEUT que nous soyons niaiseux.

Plus les citoyens sont niaiseux, plus le gouvernement est satisfait.

Cybertarien

@Bobjack,

Vous aussi vous avez remarqué que lorsque le gouvernement nous vole notre argent c'est pour notre bien et que lorsque le gouvernement veut notre bien il le prend.

@Steven,

Le gouvernement nous veut niaiseux. Plus on est niaiseux en tant qu'individu mieux s'en porte la collectivité selon eux. Pour le gouvernement c'est un devoir individuel d'être niaiseux pour le bien commun.

Gilles Laplante

Depuis que j'ai lu le premier roman de Denise Bombardier, je n'ai plus jamais acheté un roman québécois. Dieu que c'était nul. Le dernier ouvrage québécois que j'ai acheté était "La face cachée des politiques publiques" de Nathalie Elgrably. Là j'en ai eu pour mon argent. Je dépense des centaines de dollars en livres et revues annuellement et c'est très rarement des produits canadiens et encore moins québéquois.

Claude Lamarche

Wow, à lire vos commentaires, messieurs (y a-t-il des madames qui ont bondi comme moi?) on a du chemin à faire!!!

Geneviève Guèvremont au lieu de Germaine! En effet, ce n'est pas fort.

Je garde espoir en lisant d'autres bloques!!!

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Citations

  • « L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde. »

    – Frédéric Bastiat, 1848

Visitez le QL

Ma Photo

À propos du Blogue du QL

Faites une recherche


Groupe Facebook