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22 novembre 2009

Commentaires

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Mathieu NV

M. Masse,

Fort probablement que nos gentils médias Québécois vont dire qu'un méchant hacker a pénétré de façon illégale dans un serveur d'une grande université Britannique.

En fait, cette nouvelle me surprend guère car en fait, l'industrie écologiste et ''verte'' est rendu une si grosse business que chacun va y avoir sa part du gâteau (et quitte à laisser son ethnique scientifique de côté pour aller chercher des subventions surtout étatiques).

Pierre-Yves

Il y'a tout de même dans le Landerneau médiatique québécois (quoi qu'en fait, Landerneau c'est un peu plus évolué médiatiquement parlant), quelques éclairs de bon sens:

http://www.cyberpresse.ca/opinions/editorialistes/mario-roy/200911/17/01-922305-le-co2-de-lhomme-blanc.php

Mathieu NV

Je me demande bien si Naomi Klein sait c'est quoi vivre dans la pauvrété?

Francois

Non, je ne penses pas que ceci sera mentionné dans les médias grand public.
Ou à tout le moins, ce le sera de la façon que l'a fait la BBC:
http://newsvote.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8370282.stm

Pour ceux qui suivent cette science de près, il n'y a rien de surprenant. Juste le plaisir de la voir exposée au grand jour.
Pour les autres, ce que vous voyez est ce que je me plais à nommer: la «science progressive», par opposition à la science objective.
La réalité au service de l'humanité et non plus l'humanité à la recherche de la réalité.

Luc Chartrand

Sur l'image du pauvre petit nounours si gentil si blanc sur son îlot flottant :

http://www.youtube.com/watch?v=Uw5WdmuGSfM

Simon Bonneau

Cette photo de l'ours polaire sur son morceau de glace est de toute évidence une photo truquée. Les émotions plutôt que la raison semblent dicter le comportement des réchauffistes.

Mais il ne faut pas s'attaquer à la science climatologique. Il ne faut pas chercher à savoir si c'est vrai ou non que la planète se réchauffe.

Il faut plutôt lutter contre les politiques et mesures liberticides visant à enrayer ce vrai/faux phénomène.

Que le réchauffement climatique ait lieu ou non, là n'est pas la question.

Doit-on abolir le capitalisme et la propriété privée au nom du climat, là est la question et la réponse est évidemment non.

Les question climatiques semblent avoir été envahies par le mouvement socialiste, le mouvement anti-américain, les mouvements anti-capitalistes et autres mouvements collectivistes.

Il devient évident que le véritable but des réchauffistes et d'attaquer le capitalisme et la propriété privée en se servant du climat comme prétexte.

Il est évident qu'ils voient les questions climatiques comme étant l'opportunité parfaite pour promouvoir leur collectivisme et s'attaquer à l'individualisme.

Alors la science climatique n'est pas l'enjeux, c'est encore une fois une lutte politique.

Débattre de la véracité du réchauffement climatique, en tant que libertarien, c'est faire fausse route. Il faut plutôt débattre des politiques et mesures préconisées par les réchauffistes pour soi-disant lutter contre les changements climatiques.

Nous savons très bien que ces "réchauffistes" ne sont pour la plupart que des communistes qui luttent contre le capitalisme. Ils ne versent dans la climatique que par apparence superficielle. Leur véritable but est d'anéantir le capitalisme, la propriété privée, les libertés individuelles et d'assujetir l'individu à l'état et à la collectivité.

Alors je trouve caduque que vous débattiez des chiffres sur le réchauffement climatique. À moins que vous ne soyiez prêt à renoncer à vos idéaux libertariens advenant le fait que le réchauffement climatique s'avère être vrai.

Moi je réponds, peu importe la température de la terre, ne touchez pas au capitalisme, ne touchez pas à la propriété privée et laissez mes libertés individuelles intactes.

Je me fous qu'il fasse 25 ou 1000 degrés Celsius à la surface de la terre, vivre libre ou mourrir !

Simon Bonneau

@Mathieu NV,

"Je me demande bien si Naomi Klein sait c'est quoi vivre dans la pauvrété?"

Probablement qu'elle ne le saura jamais, mais bon nombre de ses adeptes dépourvus de sens critique risquent fort bien de l'apprendre si les politiques préconisées par Mme Klein sont mises de l'avant.

Rien que le plan de "réforme" de la santé de monsieur Obama risque de plonger le peuple Américain dans la pauvreté et la violence. Alors imaginez la taxe sur la carbone maintenant.

Si Mme Klein veut savoir réellement ce que c'est qu'un désastre, elle n'a qu'à appuyer la réforme de la santé et la taxe sur le carbone et le désastre devrait suivre de très près.

Les mesures liberticides pour lutter contre le climat feront en sorte que la production alimentaire va baisser et que le prix des denrées va augmenter, face à cela je crains les mesures que prendront les gouvernements en matière de gestion alimentaire.

Il se peut fort bien que nous perdions le libre marché alimentaire, en partie ou en totalité.

Comment aimeriez-vous recevoir des coupons de rations de nourriture et faire la file d'attente à la banque alimentaire canadienne pour vous nourrir seulement pour vous faire retourner après des heures d'attente ?

Comment aimeriez-vous payer un impôt nourriture sur vos revenus pour soi-disant lutter contre la crise alimentaire ?

Ce qu'ils ont fait avec les vaccins ils risquent de le faire avec la nourriture si les stocks alimentaires baissent à cause de l'inflation et des politiques anticlimatiques.

Si jamais les politiques pro-environnement sont mises de l'avant, cela risque fort bien d'arriver.

Une crise alimentaire, causée par des politiques keynesiens et anti-climatiques, serait le prétexte parfait pour une immense prise de pouvoir et de contrôle par le gouvernement. Un peuple affamé n'est pas en état de combattre et la plupart des gens courberont l'échine pour une bouchée de pain.

Ça pourrait arriver plus vite qu'on ne le pense. Je trouve inquiétant que la "réforme" de la santé progresse aux USA. Cette réforme aura un impact percutant sur le prix et la disponibilité des denrées alimentaires.

alan de Bx

Vive les hackers! Un climategate; voir la page Q d'Environnement de Lumières et liberté: http://www.lumieres-et-liberte.org/pages/Liberte_et_Environnement-2019006.html effectuée la nuit dernière, déjà beaucoup de lien, outre celui de mon ami Vincent Bénard vu ce matin.
Bien librement tous
AL'ain

Francois

Et bien, M. Cardinal de la Presse ose en parler:
http://www.cyberpresse.ca/environnement/200911/23/01-924366-une-arnaque-le-rechauffement.php

Gilles Guénette

Glenn Beck on "ClimateGate" Man-Made Global Warming Climate Scam - Actual Proven Conspiracy 11-23-09

http://www.youtube.com/watch?v=sA_Szcmtxvs

Gilles Guénette

Et bien, Mgr. Cardinal de la Presse ne se mouille pas trop...

Max

Dire que la Bazzo demandait à Monseigneur, à son émission de télé de la semaine dernière, d'un ton supplicatif, et sur la base des certitudes scientifiques sur le dossier, s'il ne fallait plus maintenant cesser de parler de réductions volontaires d'émissions de CO2 mais bien passer à l'étape supérieur de l'autoritarisme pour mettre les gens à genoux.

Luc Chartrand

Quand on lit l'article de M. Cardinal on se dit que la presse généraliste politiquement correct n'a plus guère de valeur ajoutée.

On reste sur sa faim et l'analyse est très lacunaire :
-- quid de la collusion pour empêcher la publication des articles sceptiques même très bons au niveau mathématiques

-- quid de la volonté de supprimer des données

-- quid de l'obstruction au partage de données invoquées au nom de la Loi à l'accès à l'information, obstruction sélective : si ça vient des sceptiques

-- quid de la volonté d'éliminer l'Optimum médiéval

(voir la liste des courriels mis à jour sur Pour une école libre.

http://pouruneecolelibre.blogspot.com/2009/11/scandales-ethiques-chez-les-eco.html )


Apparemment, le code est aussi une horreur.

http://wattsupwiththat.com/2009/11/22/cru-emails-may-be-open-to-interpretation-but-commented-code-by-the-programmer-tells-the-real-story/#more-13065

Luc Chartrand

Sur le code au CRU (qui l'eut ?)

http://corner.nationalreview.com/post/?q=NTM3OTE2NTNiNmIwNTYwNDNiZTJkMzk1YjFkZTA5NTM=

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Citations

  • « L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde. »

    – Frédéric Bastiat, 1848

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