par Martin Masse
Hier, dans La Presse, c'était une éditorialiste qui se démarque surtout par ses textes d'une insignifiance sans borne qui recopiait avec quelques variations les arguments mous à la défense des climatologues réchauffistes qui circulent depuis une semaine dans les torchons de propagande que sont la plupart des quotidiens du monde. L'écocatastrophiste attitré du même journal, François Cardinal, qui publiait un article semblable en début de semaine, s'est toutefois senti obligé d'aller un peu plus loin aujourd'hui, même si la teneur du discours reste essentiellement inchangée.
C'est déjà un très bel effort pour un seul journal, quand on pense que dans bien d'autres médias on continue purement et simplement d'ignorer l'histoire. À ce jour, à ma connaissance, le Globe and Mail n'a toujours même pas publié un seul article qui en fait mention, et ce plus d'une semaine après que le scandale ait éclaté. Les télévisions et radios canadiennes n'en parlent pas non plus.
La désinformation ne s'observe pas que dans les républiques de bananes québécoise et française, où les élites mangent toutes à la même assiette. On a l'impression que les médias anglophones en parlent beaucoup mais en réalité, seuls quelques organes de presse, dont le Wall Street Journal, le Daily Telegraph, le National Post et Fox News ont accordé beaucoup d'attention à la nouvelle. Aux États-Unis, les trois networks l'ignorent complètement et CNN en aurait parlé pour la première fois hier. L'Omerta touche la clique journalistique de la planète entière et chaque jour qui passe, leur silence les discrédite un peu plus.
C'est peut-être pour cette raison que François Cardinal a décidé d'en parler encore une fois en élaborant un peu plus aujourd'hui. Le journaliste - eh oui, journaliste, et non chroniqueur ou éditorialiste - a donc pondu un autre... éditorial pour nous démontrer qu'il n'y avait que bien peu matière à scandale.
Des courriels indiquant clairement que Jones a cherché à détruire des données dans le contexte de demandes d'accès à l'information sont, croit-il, un faux pas un peu plus grave qui «devrait inciter l'auteur du courriel en question, le grand patron de l'unité de recherche Phil Jones, à réfléchir à son avenir, ou du moins à s'expliquer publiquement». Bon, on avance un peu là aussi, les réchauffistes ne sont donc plus tous des saints.
Mais, nous dit l'écocatastrophiste, tout ça ne change rien à rien, puisque «Le consensus scientifique est clair»!!! Encore le fameux consensus. Il répète ce mantra dans les deux paragraphes qui suivent: les scientifiques du GIEC sont arrivés à une «conclusion, entérinée à l'unanimité», et on ne peut logiquement remettre en question un «consensus aussi largement répandu». Est-ce qu'il pense vraiment qu'on va le croire plus après l'avoir répété trois cents fois?
Ces gens sont carrément en phase de déni, ils devraient consulter un psychologue. Ouvrez-vous les yeux: IL N'Y A PAS DE CONSENSUS!!!
Dans les régimes totalitaires, on réglait le problème des dissidents en les éliminant et le présumé consensus se reformait automatiquement. Dans nos sociétés, on passe sous silence leur existence ou on nie la pertinence de leurs opinions en espérant qu'ils finissent par disparaître. Malheureusement pour les réchauffistes, Internet existe et nous n'allons pas disparaître. C'est eux en fait qui risquent fortement de disparaître à moins de s'adapter.
Essayons donc d'aider le pauvre écocatastrophiste incompétent de La Presse à s'adapter en faisant correctement son travail de journaliste. Au lieu de se contenter de faire l'apologie d'un seul point de vue, celui des réchauffistes, pourquoi M. Cardinal ne tente-t-il pas de nous expliquer les deux côtés de la médaille, par exemple au sujet de la fameuse astuce de Mann dont parle Phil Jones dans le plus reproduit des courriels?
Selon ma compréhension (et là, je ne prétends vraiment pas maîtriser tous les éléments du dossier), il est vrai que le déclin des températures après 1960 dans les données de dendrochronologie (c'est-à-dire à partir d'une analyse des cernes d'arbre) recueillies par Keith Briffa était un fait connu et discuté dans les milieux scientifiques.
Mais ce fait connu par les chercheurs était justement caché dans les revues universitaires et les graphiques officiels du GIEC, question peut-être de ne pas susciter de doute sur la véracité des données. C'est pourquoi on «reconstruisait» les données de dendrochronologie après 1960 en leur substituant les données instrumentales, c'est-à-dire celles obtenues par les thermomètres dans les postes d'observation, qui elles montraient une augmentation des températures.
Cela soulève toutefois une question cruciale: si les données en provenance des cernes d'arbre ne sont pas fiables après 1960, comment peut-on présumer qu'elles le sont avant? Un aspect important de la controverse est l'ampleur de la hausse des températures depuis la Révolution industrielle et en particulier le début du 20e siècle.
Les réchauffistes ont aussi beaucoup de problème avec l'Optimum médiéval (la période chaude d'il y a mille ans, quand les vikings cultivaient au Groenland) et plusieurs des commentaires montrent qu'ils cherchaient à faire disparaître cette période chaude des données. (Jones écrit dans un des messages: «Bottom line - there is no way the MWP [Note: Medieval Warm Period] (whenever it was) was as warm globally as the last 20 years... this is all gut feeling, no science, but years of experience of dealing with global scales and variability.»)
Se peut-il que les températures tirées des cernes d'arbre ne soient pas aussi fiables qu'on le croit ? (Voir d'ailleurs à ce sujet cet article de septembre dernier qui décrit le «scandale» qui courait déjà sur les fameux arbres de Briffa, avant les présentes révélations).
Inversement, se peut-il que ce soit les données instrumentales récentes qui soient faussées? Des doutes ont été soulevés par plusieurs scientifiques sceptiques, dont Ross McKitrick et Patrick J. Michaels à propos du fait que la hausse des températures pourrait être due en partie à la présence de nombreuses stations d'observation terrestres dans des environnements urbains ou qui ont été urbanisés au cours des dernières décennies. Les arbres, eux, sont dans la forêt et ne sont pas touchés par ce phénomène.
En utilisant son «astuce» pour «dissimuler le déclin», Jones essayait-il encore une fois de noyer toute discussion de ces problèmes potentiels? Le déclin était connu, mais ça n'explique pas pourquoi les réchauffistes tenaient tant à le dissimuler. L'explication répétée par tous les propagandistes réchauffistes ces derniers jours, y compris Cardinal aujourd'hui, n'est pas particulièrement éclairante. Il écrit que
L'«astuce» est simplement une façon de mettre en contexte cet écart en y ajoutant les données réelles de température, ce qui a pour effet de «masquer» le déclin des températures après 1960, un fait reconnu par la communauté scientifique.
Il n'y a pourtant aucune mise en contexte, plutôt la disparition d'un contexte important, celui qui indique une divergence dans les données. L'astuce fait paraître les courbes plus simples et clairement orientées dans une seule direction, alors que ce n'est pas le cas.
Cette explication est-elle totalement non pertinente? Il me semble qu'elle est plausible et présente un certain intérêt. Je ne suis absolument pas certain qu'elle soit la bonne ni la seule dans ce cas particulier, mais pourquoi ne pas nous la présenter et nous donner le plus d'information possible pour que nous puissions nous faire une idée? Pourquoi ne pas parler des autres controverses soulevées par les courriels qui remettent en cause le processus même de révision par les pairs, si crucial pour garantir la qualité de la recherche? Ce serait ça, il me semble, le rôle d'un organe d'information généraliste qui se respecte et d'un journaliste qui fait consciencieusement son travail.
Au lieu de cela, La Presse continue de faire sa propagande, pendant que l'Omerta règne sur le reste du monde des parlotteux médiatiques. Nous sommes vraiment à un point tournant. Cette histoire aura démontré hors de tout doute que la presque totalité de nos grands médias ne sont, derrière le vernis d'objectivité dont ils se parent, que les incarnations post-soviétiques de la Pravda («La Vérité») et des Izvestia («Les Nouvelles»).
Il y a aussi un excellent papier publié dans le Financial Times aujourd'hui.
Un extrait:
Secrecy in science is a corrosive force
Why should research funding institutions and taxpayers fund scientists who deliberately delay, obfuscate and deny open access to their research? Why should scientific journals publish peer-reviewed research where the submitting scientists have not made every reasonable effort to make their work – from raw data to sophisticated computer simulations – as transparent and accessible as possible? Why should responsible policymakers in America, Europe, Asia and Latin America make decisions affecting people’s health, wealth and future based on opaque and inaccessible science?
They should not. The issue here is not about good or bad science, it is about insisting that scientists and their work be open and transparent enough so that research can be effectively reviewed by broader communities of interest. Open science minimises the likelihood and consequences of bad science.
[...]
When doing important research about the potential future of the planet, scientists should have nothing to hide. Their obligation to the truth is an obligation to openness.
Rédigé par : David Gagnon | 27 novembre 2009 à 22h09
Martin Martin: Ton analyse est excellente... et je te trouve par mal bon de les lire et de les analyser. Moi je ne suis PLUS capable !
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En passant, la plupart des psys sont tout autant "programmés" que les journalistes...
;-)
Bon, moi je vais essayer d'être zen (pour une fois):
A mon avis, le problème, c'est que ces gens -même s'ils prennent conscience de la réalité- DOIVENT continuer de mentir pour garder leur job... car ce sont des dogmes qu'ils doivent répéter... sinon, bye, bye. Et d'autres 'pions' vont les remplacer. Je sais que tu le sais... Tout part de l'état et des subventions de recherches (dans le cas du "réchauffement planétaire" ou de toutes les autres recherches "orientées"). Et dans le cas des journaux, ça prend UNE personne qui OBLIGE les journalistes à suivre la ligne éditoriale et c'est bye-bye les FAITS. Idem pour les politiciens qui suivent la ligne de parti comme des moutons et les profs, l'idéologie dominante de leur faculté, etc. Et c'est presque partout comme ça et dans presque tous les domaines "intellectuels"...
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Je viens de terminer ATLAS SHRUGGED... et j'ai peu d'espoir que ça change...
La fiction dépasse vraiment la réalité !
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A mon acis, ce n'est pas "le peuple" le problème, mais les "intellectuels" qui DOIVENT suivre les dogmes de leur domaine s'ils veulent manger... et continuer de travailler dans leur profession...
J'ai vraiment de la pitié pour ces gens... car ils ne réalisent pas ce qu'ils sont en train de faire, chacun dans leur domaine.
En tout cas... étant chrétien, je prie pour eux, car je ne sais plus quoi faire et de toute façon, je ne suis vraiment plus capable de les lire ! Par contre, contrairement à ce que j'ai dit hier, j'encourage tous ceux qui sont capables de les lires (et d'analyser leurs mensonges), de continuer...
Ils sont -à mes yeux- des "destructeurs d'humanité inconscients", qui croient vraiment "travailler pour l'avènement d'un monde meilleur"...
Il sont des naifs "utiles"... comme dans ATLAS SHRUGGED.
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Aujourd'hui, j'ai fait une gaffe... j'ai acheté la presse et le journal de montréal...
Bon, j'ai perdu 1$ (et ma patience !!!) avec le premier journal (en passant Martin, j'aime bien l'image utilisée dans ce texte !), mais je me suis rattrapé avec ma 2ième "piasse', car et j'ai trouvé plusieurs perles, donc celle-ci:
"La main qui nourrit"
de Jean Jacques Samson
Probablement disponible demain, ici:
http://lejournaldequebec.canoe.ca/chroniques/jeanjacquessamson/
Ce texte est fantastique, car il va à LA RACINE du problème et pourrait s'appliquer à tant de situations!
Bravo encore à Jean Jacques Samson !
Rédigé par : Sébas | 27 novembre 2009 à 23h50
Grrr:
"car j'ai trouvé plusieurs perles, dont celle-ci:"
Rédigé par : Sébas | 28 novembre 2009 à 00h01
Je suis bien d'accord avec cette analyse...
«Il n'y a pourtant aucune mise en contexte, plutôt la disparition d'un contexte important, celui qui indique une divergence dans les données. L'astuce fait paraître les courbes plus simples et clairement orientées dans une seule direction, alors que ce n'est pas le cas.»
Effectivement, c'est une genre de règle en science. Pour combiner deux ensembles de données ( ici, la température déduite à partir des anneaux des arbres et la température d'un thermomètre) , il est absolument nécessaire que lorsque ces deux ensembles de données se chevauchent, ils «disent» la même chose. Sans cette règle, tout est possible...
Il est impensable d'oser présenter une telle divergence sans l'expliquer.
Mais dans ce cas-ci, toute explication a pour effet de discréditer l'extrapolation de température par la dendrochronologie. Que faire ?
Faire disparaitre cette divergence.
Rédigé par : Francois | 28 novembre 2009 à 01h10
Petit rappel de contexte: qu'il y ait eu plus ou moins de réchauffement dans le passé, en tant que tel, n'est pas très pertinent au débat. La vraie question est de déterminer la "sensibilité" du climat à doubler la concentration de CO2 dans l'atmosphère, une relation logarithmique. Il y a donc quand même ici deux (vrais) consensus: (1) la sensibilité est au moins 0.3C (Lindzen) et l'effet du CO2 sur le climat est donc réel, et (2) qu'il serait imprudent de laisser la contribution du CO2 anthropogénique dépasser 2K (Kelvin ou Celsius), peu importe l'évolution réelle du climat.
Pour bien comprendre la relation logarithmique:
Sensibilité de 0.3K -> on peut doubler le CO2 6.67 fois pour la limite de 2K -> CO2 max 30000ppm (3%!)
Sensibilité de 1.5K -> on peut doubler le CO2 1.33 fois pour la limite de 2K -> CO2 max 700ppm
Sensibilité de 3K -> on peut doubler le CO2 0.667 fois pour la limite de 2K -> CO2 max 450 ppm
C'est donc dire que si la sensibilité est inférieure à 1K, (feedback net négatif, supporté par plusieurs lignes de pensée) on n'a pas à s'inquiéter du CO2 avant plusieurs décennies MÊME SI TOUT LE RESTE EST VRAI. Ce qui est louche ici est l'affirmation du GIEC/IPCC qu'ils sont certains à 90% que la sensibilité est d'au moins 1.5C, et qu'on sait très bien que cette affirmation provient de modèles très sensibles à la qualité (et surtout l'absence de biais) dans les données sujettes au scandale.
Rédigé par : Bastiat79 | 28 novembre 2009 à 09h28
D'un côté les grosses compagnies polluantes et gaspilleuses; de l'autre : la bande de «verts» qui crient au meurtre et qui font peur aux enfants...
Au milieu, je suis là, qui essaie de comprendre, de m'informer, de savoir qui a raison.
Pôvre de moi !
Rédigé par : Garamond | 28 novembre 2009 à 11h18
Sincèrement merci pour vos excellents articles sur le sujet. J'ai récémment fait ma part pour l'environnement, j'ai complètement cessé mon abonnement à La Presse.
Rédigé par : Martin | 28 novembre 2009 à 12h36
Ce qui est intéréssant c'est que le G&M se met tout d'un coup, comme si on venait de découvrir ses thèses, à parler de Bjorn Lomborg comme autre chose qu'un abominable mécréant:
http://www.theglobeandmail.com/news/opinions/under-heat-climate-change-contrarian-wont-wilt/article1380438/
Ce qui évidemment ne serait jamais arrivé sans le Climategate, puisque ce n'est pas d'aujourd'hui que Lomborg répète plus ou moins les mêmes choses. Le feu par le feu quoi...
Un peu plus subtil que La Presse, comme tactique cependant.
Rédigé par : Pierre-Yves | 28 novembre 2009 à 12h55
Sameo Mourelatos:
Exact: Dans tous les domaines, une assurance devrait être réservée QUE pour les catastrophes... et toutes les autres dépenses [pour notre santé, dans ce cas-ci] devraient être assumées par les patients (donc, des 'sous' devraient être réservés pour ça dans tous les budgets)...
Voici un exemple un peu boiteux (car certains vont dire/penser que je place notre corps dans la même catégorie qu'une auto): Nous payons les réparations sur nos voitures et nous appelons les assurances que pour les vraies catastrophes...
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De toute façon, dans une société libertarienne SANS fausse monnaie (i.e. avec de la monnaie qui n'est pas essentiellement de la dette: ce qui est le cas actuellement), et SANS réglementation gouvernementale néfaste, les coûts pour se faire soigner seraient 100x moins élevés qu'aujourd'hui...
Et chaque nouvelle découverte scientifique ferait BAISSER LES COÛTS -et non les augmenter, comme c'est le cas actuellement. C'est la fausse monnaie qui cause l'inflation: presque RIEN d'autre ! C'est aussi la fausse monnaie (et le 'corpo-parasitisme' étatique) qui conduit à la monopolisationn des capitaux par des géants transnationaux. RIEN D'AUTRE.(En passant, qui a inventé le jeu de MONOPOLY? Celui-la même qui se faisait passer pour un défenseur du libre marché...). Presque 99% des inégalités dans le monde et presque 100% de injustices économiques dans le monde, sont issues de ces 2 éléments. Le 1% restant est dû aux faiblesses humaines (comme l'égoisme). OUI les structures actuelles conduisent presque 100% des humains à devenir comme des animaux individualistes (justement parce que tout est en train de devenir collectiviste! Cela semble être un paradoxe, mais ne l'est pas: Si nous protégeons -à 100%- les libertés individuelles et que nous laissons l'humain utiliser de la vrai monnaie, presque toute la merde actuelle va disparaitre, comme par magie. Mais en réalité, ce n'est pas magique mais TRES factuel!). Pensons aux dictatures qui font ressortir le pire de l'humain. Oui si tous les humains étaient 100% vertueux, on aurait un monde parfait. Mais cela est vraiment une utopie irréalisable (sans internvetion divine en tout cas!). Il faut donc penser en fonction de la réalité humaine -actuelle- et construire des structures qui empêchent nos faiblesses "naturelles"- de tout détruire.
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Et tout cas, tout mon discours n'est pas utopique, est vraiment réalisable (si on se remet tous à réfléchir en-dehors des paradigmes dominants actuels), et je peux le démontrer assez facilement (si on oublie toute la propagande actuelle, bien sûr) et si on me donne un micro pendant quelques heures ! :-)
Ok, plusieurs vont penser que je délire ou que j'exagère... et pourtant, il suffit de comprendre quelques principes de base pour VOIR et CONSTATER que ce que je décris est vraiment simple et réalisable...
;-)
Mais ni la gauche, ni la droite (sauf plusieurs libertariens), comprennent tout ça...
Triste époque en tout cas...
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GOUVERNEMENT MONDIAL NÉCESSAIRE ?
En ce moment, ça devient de plus en plus évident que les "graves urgences mondiales"(sic), soit;
1) Les changements et/ou réchauffement climatiques (gérées par des "scientifiques-au-consensus-dogmatique" et politiciens-adeptent-de-Machiavel, qui déforment les faits sans arrêt);
2) La grippe A (gérée par l'OMS: une patente non-crédible/non-démocratique et aussi, encore par des politiciens);
3) ou la crise économique "mondiale" -sic, (gérée encore par des politiciens et des "experts" keynésiens);
sont carrémment basées sur des mensonges ou des manipulations de la réalité...
Ces 3 crises INVENTÉES de toute pièce (ou exagérées comme c'est pas possible), ne sont là QUE pour conditionner les gens NAIFS (mais souvent "full" diplômes), à croire qu'UNE seule solution existe pour régler tous ces "problèmes":
"Une structure supranationale, car ces problèmes dépasse les états... ou les individus..." (sic)
C'est ce qui -à terme- va détruitre toutes nos libertés et tout ça au nom de nobles objectifs...
Mais, comme je le répète souvent, et malgré ce que en disent les propagandistes/illusionnistes des médias-du-troupeau-naif, la majorité des gens ne "gobent" pas/plus ces mensonges... et manipulations. Tout ça risque de très mal finir... ;-(
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Toutes ces crises(?) pourraient être réglées SI FACILEMENT, si seulement nous trouvions les VRAIES causes... et que nous arrêtions de faire des gué-guerres droite gauche, entre gens qui sont autrement très raisonnables et sensés...
En trouvant la SOURCE des VRAIS problèmes/crises, nous pourrions TOUS (les gens de droite ou de gauche, athées ou croyants, etc), revenir les 2 pieds sur terre et revenir à l'essentiel: L'HUMAIN !
Voici rapidement LA réalité concernant les 'crises':
La crise économique est essentiellement causée PAR des interventions gouvernementales (voir quelques faits décrits par moi ci-dessus). Encore ici, donnez-moi un micro et je vais vous expliquer tous les FAITS. ;-) Oui les gens de gauche et même souvent de dit droite conservatrice (ou autre tendance de droite), et qui ne comprennent rien à rien des bases de notre système monétaire, vont blâmer les "mauvais penchants des humains"(ce qui n'est pas tout à fait faux), ou disent (ou répêtent la propagande omniprésente), que "c'est naturel qui y ait des crises" (ça c'est les inconscients de la droite économique monopolistique qui disent ça)... mais ça reste FAUX !
Oui dans le contexte actuel, "les mauvais penchants humains" sont favorisés par notre FAUX libre marché ("l'occasion fait le larron"). Et les crises/booms sont causés aussi par le FAUX libre marché... basé sur de la fausse monnaie et des lois mal conçues qui favorisent le corporatisme... et la corruption...
Etc...
A LA BASE, l'essentiel de la pollution est aussi créé (ou plutôt favorisée) par des interventions gouvernrmentales... (faut comprendre mes prémisses du départ, pour CONSTATER ceci...)
Et la "pandémie" (sic) -qui N'EST même PAS si dangereuse- peut être arrêtée (ou même prévenue), par plus d'hygiène (dans les pays pauvres surtout), et par plus de prévention qui renforce le système immunitaire et ce, pour TOUS les humains...
Etc, etc, etc...
Bon je m'arrête là... pour l'instant.
SVP, blogueurs de gauche ou de droite (que je lis régulièrement), svp, svp, svp, cessez de CROIRE la propagande actuelle entourant le "néo-libéralisme" ou le capitalisme "sain"(sic) basée sur la fausse monnaie (ou n'importe quel autre paradigme médiatique ou universitaire actuel), et essayez de penser que ce que je dis est peut-être vrai... et vous allez voir que je cherche exactement la même chose que vous TOUS, mais par des moyens qui respectent la DIGNITIÉ HUMAINE, en premier !
Rédigé par : Sébas | 28 novembre 2009 à 16h23
Si les médias voulaient faire un vrai travail honnête sur la chose, ils engageraient des programmeurs et des statisticiens indépendants pour évaluer les données. La véritable perle ici ce n'est pas les courriels (qui sommes toute, sont une preuve bien faible de manipulation des données) mais bien plutôt le modèle et les données qui ont été utilisé pour présenter les résultats.
Bien des nerds indépendants se mettent à les décortiquer sur le web. Je n'ai que quelques connaissances en programmation et en statistique mais d'après ce que je lis à date, le modèle utilisé par le CRU est un foutu bordel qui ne tient pas debout.
Rédigé par : Frankyb | 28 novembre 2009 à 18h07
[Bon, je ne demande rien d'autre que quelqu'un (de "crédible"-sic) vienne me contredire... avec des FAITS... et des arguments calmes et rationnels]
Voici quelques faits de "mon moi-même", qui suis(?) un gars TRES rationnel et raisonnable(?) (i.e. qui cherche la réalité en tout et qui ne gobe AUCUN paradigme et/ou 'vérité', sans l'avoir vérifié au préalable), mais qui n'a presque aucune formation académique reconnue ou 'crédible' (aux yeux des "expert$", bien sûr):
-Le CO2 = "bouffe à plante" !
-De toute façon, le réchauffement climatique aurait cessé...
-Le niveau des océans aurait cessé de monter aussi...
-Pendant que certains glaciers fondent, d'autres s'agrandissent... ce serait donc kif-kif de ce côté...
-Le système solaire AU COMPLET était aussi en train de se réchauffer. LE SOLIEL EST LE FACTEUR NUMÉRO 1 du réchauffement(refroidissement) climatique et influencerait notre météo beaucoup plus que n'importe quel autre facteur terrestre...
-Les changements climatiques SERAIENT normaux... vous n'avez qu'à écoutez miss météo et faire de simples extrapolations...
;-)
-Le Sahel est en train de REVERDIR de façon naturelle... GRÂCE à l'augmentation du CO2...
La dioxyde de carbone (qui ressemble a du poison, dit comme ça), EST essentiellement BON pour la végétation = CO2
-Les métérologues ne sont même PAS capables de prédire la météo de la semaine suivante, DONC, même avec des ordinateurs hyper puissants, et même en ESSAYANT de tenir compte de tous les paramètres influençant la météo, c'est IMPOSSIBLE de prévoir ce qui s'en vient, des semaines ou mois en avance...
-99% des gens qui font de la propagande autour de ces faits, sont OBLIGÉS (ou "programmés") d'une façon ou d'une autre, à minimiser/déformer ces réalités...
**
ATTAQUONS-NOUS donc aux causes réelles de la pollution, de la malnutrition et de la désertification...
---} Voir mon texte de 16:23 pour quelques pistes sommaires.
Merci bonsoir.
Rédigé par : ue | 28 novembre 2009 à 18h34
Grr:
-LE dioxyde de carbone...
Rédigé par : ue | 28 novembre 2009 à 18h37
Mars se réchauffe aussi :
http://agoraquebec.canalblog.com/tag/environnementaliste
Rédigé par : Dan | 28 novembre 2009 à 20h07
Pumping-up the volume:
http://www.cyberpresse.ca/actualites/elections-federales-2009/enjeux/environnement/200911/29/01-926155-bombe-climatique-les-risques-se-multiplient.php
Rédigé par : Pierre-Yves | 29 novembre 2009 à 12h38
Il faut arrêter de médire de la Pravda, elle parle plus de cette histoire que Radio-Canada !
http://english.pravda.ru/science/earth/30-11-2009/110832-climategate-0
Rédigé par : Françoise D. | 30 novembre 2009 à 10h02
La Russie a en fait été l'un des derniers pays à se rallier derrière le pseudo-consensus. Ses scientifiques ont souvent émis des doutes quant à l'état de la science; voir par exemple http://www.globalwarmingheartland.com/expert.cfm?expertId=385.
Bien entendu, personne n'en a jamais entendu parler...
Rédigé par : M. Tremblay | 01 décembre 2009 à 13h13
Le dioxyde de carbone c'est méchant!!!
Saviez-vous qu'ils mettent du chlorure de sodium dans les frites du McDo!?!
Rédigé par : Kevin | 01 décembre 2009 à 15h16
PRAVDA! La vérité! Haha!
Rédigé par : Cyrus | 04 décembre 2009 à 00h11