par Gilles Guénette
Cyberpresse.ca: Une deuxième offensive pour lutter contre la pauvreté au Québec a été lancée en grande pompe [hier] à Montréal mais le plan d'action du gouvernement québécois, qui consacre près de 7 milliards de dollars sur cinq ans aux plus démunis, ne permettra pas d'améliorer leur qualité de vie, ont aussitôt déploré les divers organismes impliqués et l'opposition péquiste. […] «Aujourd'hui, demain, après-demain, nous voulons enrayer cette pauvreté, et ça commence maintenant», a lancé le ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale, Sam Hamad, qui était aux côtés de la ministre déléguée aux Services sociaux, Lise Thériault.
Le plan de lutte contre la pauvreté du gouvernement Charest ne fonctionne visiblement pas (ô surprise!). Alors que le premier plan d'action (2004-2009) comptait sur des investissements de plus de 4,5 milliards en six ans, le deuxième plan disposera de plus de 7 milliards de dollars pour les cinq prochaines années. Et malgré le détournement de tous ces milliards, 200 000 personnes de plus qu'avant recevront le «crédit d'impôt pour la solidarité» – soit 2,7 millions de personnes en tout.
Les bénéficiaires de ce crédit d'impôt recevront une somme moyenne de 510$ par année, soit 174$ de plus que ce qu'ils recevaient précédemment. Le gouvernement va financer la construction de 3000 logements sociaux d'ici à 2014, ce qui coûtera 476 millions. Il ne tiendra plus compte des pensions alimentaires des enfants dans le calcul de prestations d'aide de dernier recours. Il entend bonifier de 115 millions en cinq ans le Fonds québécois d'initiatives sociales, une bébelle créé en 2002 pour financer les initiatives locales et régionales. Il reconduit le soutien aux enfants, le supplément de la prime au travail, l'indexation automatique des prestations d'aide sociale et la révision annuelle du salaire minimum. Y’en a pas de problème! On a les moyens de se payer tout ça!
Cette seconde offensive pour lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale au Québec est en fait un pas de plus vers la prise en charge complète de la population par l’État. Comme la première, elle ne luttera pas contre la pauvreté et l'exclusion, elle luttera plutôt contre l'enrichissement de tous et la responsabilisation de chacun. Comme l'argent ne pousse pas dans les arbres – il est important de le rappeler –, on ira chercher encore plus d'argent dans les poches des contribuables et des entrepreneurs qui triment dur, eux aussi, pour joindre les deux bouts. Cet argent sera ensuite redirigé en partie (l'État s'en garde toujours un peu) vers les poches des plus démunis. Résultat? Nous nous retrouverons tous un peu plus pauvres, pour que les pauvres se sentent un peu plus riches. Je dis bien «pour qu'ils se sentent un peu plus riches» parce que la plupart n'y verront sans doute aucune différence... Leur situation ne s'améliorant pas. Les seuls qui y verront une différence, ce sont nos politiciens «progressistes» et leur cote de popularité auprès des électeurs-bénéficiaires.
@GBS
"faut bien commencer par ce qu'il y a de plus facile"
On pourrait commencer par 100 politiciens au fond de l'eau avec des chaines aux pieds, 50 souverainistes, 50 fédéralistes. Pis c'est facile de trouver l'expertise pour ça à Mourial en plus.
Rédigé par : Pierre-Yves | 11 juin 2010 à 20h55
@Pierre-Yves
Bon là quand même, vous exagérez, c'est pas comme si ces gens jetaient de l'argent par les fenêtres par plaisir, ils le font par manque de courage, par soumission et pour avoir la paix durant leur barbecue le dimanche dans westmount.
Quand même, le premier qui se présente et qui n'a pas peur d'envoyer chier bien solide la gagne de quêteux du frapru, du bs, des féministe et des écolos comme l'a déjà fait Ralf Klein, je suis derrière lui...
À attendant si je trouve que cela manque de courage de blâmer nos pâtes molles à moins d'aller soi même mettre son nom sur la ballot et d'affronter nous incultes de journaliste granos....
Rédigé par : GBS | 11 juin 2010 à 21h17
@GBS,
''ils le font par manque de courage, par soumission et pour avoir la paix durant leur barbecue le dimanche dans westmount.''
Ils le font surtout pour avoir des votes.
Prenons un exemple fictif où on a 100 BS qui disent F*ck off, je ne veux pas travailler, continuez de me payer à rien faire versus un boss et ses 10 employés non-syndiqués qui runnent la PME du coin.
Quel est le bassin de voteurs le plus important d'après vous? le 100 ou le 10?
Poser la question, c'est y répondre non?
Rédigé par : Tym Machine | 12 juin 2010 à 02h03
@Tym Machine:
"Ils le font surtout pour avoir des votes."
C'est sûr que tant qu'on propose de déshabiller Pierre pour habiller Paul, on peut toujours compter sur le vote de Paul.
Rédigé par : Pierre-Yves | 12 juin 2010 à 11h15
Désolé de gâcher le party:
A force de regarder l'arbre... la forêt devient invisible ?
«L'acte fondateur» de l'état-providence, de l'état-sécuritaire, de l'état-controlant, de l'état-totalitaire, de l'état-guerrier soi-disant démocratique, c'est les lois bancaires autorisant la création monétaire à partir de rien. Tout le reste n'est que les symptômes de ce mal. Sans cet argent «qui pousse dans les arbres», les budgets devraient TOUJOURS être équilibrés et les dettes seraient INEXISTANTES. Les politiciens ne pourraient «être généreux» avec de la fausse monnaie qui endettent tout le monde, etc.
*
Pire encore (à méditer?):
Sans cette monnaie «qui pousse dans les arbres», les 2 grandes guuerres aurient été 100x moins meurtrières.
La très grande concentration de capital à l'échelle mondiale et locale, qui nous subissons tous (et subirons encore plus), ne pourrait pas exister non plus.
***
Retour au début des années 1900.
Plusieurs politciens, banquiers et «experts» -en propagande? (ben oui, ils existaient déjà à cette époque!)
«Nous devons passer des lois pour rendre le secteur bancaire plus stable»
Cela ne vous rappelle pas quelque chose? Ben oui, c'est le discours ACTUEL qui va mener au contrôle total de la -fausse- monnaie... au niveau MONDIAL. Ceux qui auront ce contrôle, auront TOUT le pouvoir...
En tout cas, c'était -grosso-modo- le discours entourant les lois bancaires canadiennes et américaines qui allait conduire à l'autorisation de la «monnaie qui pousse dans les arbres» et qui a permis (et permet encore, plus que jamais), au mal qui existe dans l'âme de chaque homme, de faire 100x plus de ravage...
Je sais, je parle dans le vide...
Rédigé par : Sébas | 12 juin 2010 à 13h47
@Sebas
Entièrement d'accord...
Je pense qu'il ne faut pas blâmer nos politiciens de faire un paquet de connerie qu'autour d'une bière ils diraient eux même (probablement pauline aussi, à par quelques solidaires:), il n'y a personne de totalement fou dans le tapon à mon humble avis) que cela n'a pas de bon sang de mettre l'état dans un paquet de domaine.. garderies, alcool, assurance auto-médicament et j'en passe...
Ces gens veulent le pouvoir et même s'ils faisaient un pacte pour ne pas faire de conneries pour l'avoir, il y a une possibilité d'arbitrage évidente.... (dilemme du prisonnier...)
C'est notre soit disant gouvernance démocratique qu'il y a à blamer, pourquoi pas donner un vote par tranche de 1000$ d'impôt payé depuis la dernière élection??? Comme à la base le principe americain no taxation without representation, cela voulait dire aussi que les gens doivent contribuer pour avoir le droit de vote...
Pour comparer selon les standards de gouvernance d'une entreprise cotée en bourse, c'est comme si les actionnaires avaient un vote peu importe le nombre d'actions qu'ils ont et que les gens n'ayant pas de fric pour avoir des actions avaient un vote quand même (action gratuite...). Cela ne s'arrête pas là, le président est élu un fois aux quatre ans et ne peut pas être mis dehors entre temps s'il administre mal...
Rédigé par : GBS | 12 juin 2010 à 17h45
GBS:
Vivons-nous dans une démocratie... avons-nous JAMAIS vécu la véritable démocratie ici ?
Pourquoi ne pas «l'essayer» ?
Si tous les programmes/lois (à commencer par la fausse monnaie étatique qui permet 'le reste'), étaient soumis au vote réellement démocratique avec le VRAI 'price tag' (i.e. une taxe qui correspondrait au coût réel, non reporté sur la dette nationale... de fausse monnaie), toute la m**de que nous vivons actuellement, n'existerait pas. En tout cas, étant donné que l'Homme est loin d'être parfait, une certaine m**de existerait, mais elle serait 100x plus 'diluée' et moins nauséabonde (pour rester cohérent avec mon image), qu'actuellement.
Je ne blâme ni les politiciens, ni les banquiers, ni 'le peuple', etc, car presque tous vivent D'ILLUSIONS MULTIPLES... qui vont finir par TOUS nous affecter très négativement (même ceux qui se font dire qu'ils vont être à l'abri de ce qui s'en vient... que ceux qui ont encore un peu de bon sens, se RÉVEILLENT!)
Trop vivent DES illusions... par rapport la monnaie (factice et composée essentiellement de dettes!), sur la démocratie (où ça, à part dans la propagande?), sur l'état-providence (qui serait notre «ami»), sur «l'information» (haha! je ris jaune!), etc.
***
CITATION:
«Référendums et initiatives populaires
·Si la démocratie ne semble pas jouer de rôle déterminant dans le rythme de croissance des économies, il s'avère que la démocratie directe qui s'exerce sous forme de référendums et d'initiatives populaires contribue, elle, à circonscrire la taille des États et, par ricochet, à favoriser la croissance de la richesse. Les États américains qui laissent place aux initiatives populaires pratiquent moins le redistributionnisme.
·Lorsque les décisions gouvernementales sont soumises au scrutin majoritaire direct, chacun des citoyens vote sur chaque mesure dans un référendum distinct, sans considération des décisions à venir ultérieurement ou prises antérieurement. La démocratie directe retire aux politiciens les outils indispensables au maquignonnage (l'échange de votes) qu'ils pratiquent pour gagner les votes en régime de démocratie représentative. Le marché politique pipé qui caractérise notre régime perdrait une part de ses travers. Les initiatives populaires, où de simples citoyens prennent l'initiative de soumettre une proposition au vote, servent à faire obstacle à la domination des groupes organisés.
·Le dossier observable est que le référendum a servi la cause de l'allégement de l'État en Californie : il a freiné la poussée des taxes foncières. Il a bloqué les tentatives d'alourdir les taux marginaux d'impôt et a mis fin aux quotas raciaux imposés par le législateur.
· La faible taille de l'État suisse peut illustrer le sens de cet impact utilise constamment le scrutin majoritaire direct.
·En 1992, le Colorado adoptait par référendum une Charte des droits du contribuable (TABOR). Pour contenir la tentation de gaspiller des politiciens, la Charte lie la croissance des dépenses à l'évolution de la population et de la production globale. Au-delà de cette expansion, les politiciens doivent obtenir l'assentiment des votants dans un référendum. Les bienfaits de cette charte fiscale ont été énormes. Entre 1997 et 2001, la formule a valu aux contribuables une récupération de 800 $ de revenu par citoyen. La stabilité du budget public et du climat fiscal a suscité la croissance phénoménale de l'économie.
Le référendum atténue plutôt qu'il ne favorise la tyrannie de la majorité»
*
Source: Extrait du livre: «On n’as pas les gouvernements qu’on mérite», Chapitre 10, Préceptes institutionnels, Jean Luc Migué
Rédigé par : Sébas | 12 juin 2010 à 18h38
Et pendant ce temps le Québec est la cinquième société la plus endettée dans le monde industrialisé, selon une analyse du ministère des Finances du Québec. Seule consolation: la Grèce et l'Islande font pire. Image: une épave économique dont l'équipage balance de l'argent par les fenêtres...
Rédigé par : Pierre-Yves | 13 juin 2010 à 16h33
Ben non ! «tout va bien!!!», l'état et les médias font bien leur travail...
Ils ne vivent pas D'ILLUSIONS MULTIPLES par rapport à leurs vies, leurs idées, les générations futures, etc...
Pendant que presque tous les pays européens (même la Russie!), et plusieurs provinces canadiennes et états américains coupent des postes de fonctionnaires, gèlent ou baìssent les salaires de leurs milliers de fonctionnaires, coupent réellement des programmes et services (que presque personne n'a demandé directement et démocratiquement, soit dit en passant)... coupent leurs déficits et certains vont peut-être même s'attaquer à leurs dettes ?...
Le Québec des sociaux-démocrates corporatistes (cela inclus la plupart de ceux qui dirigent les médias,les partis politiques, les syndicats, le patronat et les 'corpos' de professionnels), discutent de 'virgules' (i.e. ne remettent presque jamais en question la SOURCE idéologique de toutes ces dérives), et vont augmenter la dette de;
-10 000 000 000 $ en 2009 (les 3 quarts de ce déficit est camouflé par la créativité comptable de l'état)
-un autre 10 000 000 000 $ en 2010
-encore un autre 10 000 000 000 $ en 2011
-encore et encore un autre 10 000 000 000 $ en 2012...
Déjà nous savons que Charest a DOUBLÉ la dette depuis 8 ans... faut l'faire !!! De 110 000 000 000 à 220 000 000 000 $ !
La grande noirceur (pas seulement au niveau moral et/ou spirituel), c'est maintenant et ce, à TOUS LES NIVEAUX |!|
Pendant des siècles les Québécois ont vécu FIEREMENT comme des LIBERTARIENS (i.e. sans dépendre de l'état-providence et de la fausse monnaie!)... ne s'endettaient PAS... et en 50 ans, une élite -qui se fait croire que la démocratie, et l'information libres existes ici-, va nous conduire vers un mur incroyable !
Lâchez pas la patate (le 'smash' dans l'mur va être de toute beauté!), mais venez surtout pas blâmer le 'peuple', car personne (à part quelques politiciens qui répètent que la démocratie existe), n'a voté -directement- toutes ces lois soi-disant bienvaillantes et «coporatisantes»...
Rédigé par : Sébas | 13 juin 2010 à 18h17
Si vous voulez couper dans les dépenses publiques pour lutter contre la pauvreté pas de problèmes mais il faut aussi couper dans les taxes et les impôts.
Que chacun touche son plein salaire, que chaque entreprise touche ses pleins profits et que le gouvernement sorte de nos vies et arrête de dépenser et tout ira pour le mieux.
On ne peut pas couper seulement dans les taxes ou seulement dans les dépenses, il faut couper dans les deux.
Rédigé par : Libre Entreprise | 22 juin 2010 à 13h20
@libreentreprise
Vrai, sauf qu'il va y avoir un petit décalage étant donné la dette à payer...
De plus, les petits salariés ne paient pas d'impôt de toute façon...
Rédigé par : GBS | 22 juin 2010 à 19h51
Les petits salariés paient sous forme de pertes d'opportunité, de perte de liberté, de perte de dignité et de perte de jouissance de la vie.
Même si le gouvernement ne taxe pas les petits salariés, il les contrôle autrement par des lois, règlements, la police, la répression etc.
Il ne fait pas bon être un petit salarié au Québec.
Rédigé par : Libre Entreprise | 29 juin 2010 à 12h06
Citation du jour :
Léo-Paul Lauzon au 98.5 avec Dutrisac à 14h32 :
"Moé je suis de la droite lucide, efficace, je suis pas un gars de gauche"
Rédigé par : Kevin | 29 juin 2010 à 14h34
@ Kevin:
Ça fait des années que je dis que le FESTIVAL JUSTE POUR RIRE est déclassé par la réalité...
L'autre jour c'est JEAN LAPIERRE, toujours au 98.5 fm, qui disait que la charte des droits (collectifs!!! et non pas des droits individuels et ce, malgré ce qu'en disent les propagandistes -omniprésents), était là pour nous protéger de la «tyrannie de la majorité» (sic), alors que cette charte des droits ***collectifs*** représente *DES GROUPES*, qui -ensembles, SONT Majoritaires (FEMMES = 52%; minorités visibles = environ 10%; minorités religieuses = environ 10%; minorités sexuelles = 3-4% ; etc)...
Jean Lapierre et les autres adorateurs de cette charte des droits collectifs (sauf des hommes blancs hétérosexuels chrétiens ou athées), devraient vraiment écouter ce petit film:
ANIMAL FARM : http://www.youtube.com/watch?v=NZldlyeR8DU );
qui est une métophore ( De George Orwell's ), montrant les conséquences vraiment négatives de l'impostion de droits collectifs -au détriment des vrais droits individuels- à une société...
En écoutant ce film, vous allez réaliser où nous allons et réaliser ce que les 'nouveaux' démocrates (i.e. juges et avocats bienpensants, qui croient que la démocratie parfaite est une où ce sont EUX et UNIQUEMENT eux qui décident de ce qui est 'bon' ou mauvais'), ont fait subir aux peuples membres de la très démocratique ex-URSS !
***
@ Phil Lacasse :
Tant que les étatististes ne parleront pas de la cause # 1 de la pauvreté, soit la fausse monnaie inflationniste étatique, toutes les interventions de l'état-providence ne seront que des pansements sur une jambe en bois...
Il n'y a pas pire vol (des pauvres et des salariés), que cette monnaie;
Par pire moyen de concentrer la richesse entre quelques mains;
Par pire moyen pour augmenter les écarts de richesses.
Mais aucuns étatistes (qu'il soit croyant ou athée -toujours plein de bonne volonté et d'amour dans son coeur- ose analyser ça)... et ils vont TOUJOURS réclamer plus d'interventions de l'état-providence (même le Vatican, maintenant devenu pro-étatiste, cibole! ... ce qui n'était PAS le cas il y a 100 ans...) - pour regler un problème qui est justement causé par l'état interventionniste.
Batince que notre monde est devenu fou et CON. C'est pourtant SI SIMPLE à comprendre, mais trop écoutent Radio Canada et le Devoir (ils s'expriment siiiiiiii bien: clin d'oeil à B. Vallée: http://www.leblogueduql.org/2010/06/le-fil-de-discussion-libre-de-juin.html?cid=6a00d8341cb44a53ef013484efd9c4970c#comment-6a00d8341cb44a53ef013484efd9c4970c ) et ils pensent -naivement- qu'ils sont informer et que les «professionels de l'informtion» (sic) sont de bons bergers...
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@ Tous (et pour la 2e fois):
Les petits salariés payent aussi des taxes, des permis de toutes sortes, subissent les monopoles de la SAQ, RRQ, Hydro, etc et etc, et comme dit Libre Entreprise:
«Les petits salariés paient sous forme de pertes d'opportunité, de perte de liberté, de perte de dignité et de perte de jouissance de la vie. Même si le gouvernement ne taxe pas les petits salariés, il les contrôle autrement par des lois, règlements, la police, la répression etc.»
Il faut arrêter de dire que «seulement 40% des Québécois payent de l'impôts» (ce qui est vrai), et c'est pour ça qu'il se foutent des dérives de l'état (ce qui est faux, car ils sont AUSSI affectés que ceux qui payent de l'impôt, mais pas toujours de la même façon).
Rédigé par : Sébas | 29 juin 2010 à 15h51