par Gilles Guénette Nos politiciens sont passés maîtres dans l'art de donner l'impression que nous sommes «collectivement» dépassés par la situation. Et ce, tout le temps et dans toutes sortes de domaines. Ils sont aussi passés maîtres dans l'art d'exhiber leur haut degré de compassion. Les deux vont de pair. Tous leurs dossiers sont toujours d'une importance capitale pour l'avenir de la «nation». Ainsi, chaque petite réalité qui avant était justement prise pour ce qu'elle est, une petite réalité, est dorénavant élevée au rang de phénomène social insurmontable auquel il faut s'attaquer dans les plus brefs délais et avec la fougue du guerrier qui livre sa dernière grande bataille...
C’était il y a huit ans, dans les pages du QL. Le ministre de l’Éducation de l’époque, Sylvain Simard, annonçait les grandes lignes d’une campagne «nationale» de sensibilisation aux effets du taxage à l’école. «Cette mobilisation de la société est essentielle pour la recherche de solutions globales, car le taxage et l'intimidation dépassent le cadre de l'école. C'est l'affaire de tous!», avait-il dit pour l’occasion. Cette vaste campagne devait être suivie d’un «plan d’action» plus étoffé au budget plus… substantiel. Onze ans plus tard, c’est la ministre de l’Éducation du moment, Line Beauchamp, qui doit ramasser les pots cassés – les ministres passent, les problèmes demeurent.
En effet, on apprend ce matin (ô surprise!) que la ministre a été obligée d'expliquer hier pourquoi le «plan d'action» mis en place par les libéraux pour contrer la violence en milieu scolaire ne donne pas les résultats escomptés. C’est que les cas d'intimidation à l'école se multiplient, depuis quelques jours nous apprend-on. Un garçon a même dû grimper dans un arbre pour échapper à ses tortionnaires. «Trois ans après le dépôt du plan d'action pour contrer la violence, c'est un échec», a déclaré l’ex-syndicaliste et députée Monique Richard, en sommant Line Beauchamp d'expliquer «pourquoi elle est incapable de mettre en place des mesures pour protéger nos enfants de la violence à l'école.»
Lancé en 2008 et doté d'une enveloppe de 17 M$, le plan d'action contre la violence à l'école connaît des ratés, a révélé Le Journal, cette semaine. Seulement le quart des établissements l'auraient appliqué, essentiellement en dressant «un portrait» du phénomène à l'intérieur de leurs murs. «Il faut reconnaître que le plan d'action peut être bonifié, amélioré», a convenu Line Beauchamp, en annonçant qu'il «y aura une [suite]» et «qu'il y aura d'autres argents investis.»
La ministre a toutefois défendu ce fameux plan, en insistant sur le fait qu'il avait permis «d'identifier les épisodes de violence», et leurs «causes», afin de «trouver les bonnes actions» à prendre. «C'est la représentante des directions d'école qui avouait que des directeurs d'école [...] ont exprimé de la résistance dans l'identification des problématiques de violence, a-t-elle ajouté. Cette résistance doit cesser.»
C’est-y pas beau ça? 17 millions $ pour «identifier les épisodes de violence», et leurs «causes», afin de «trouver les bonnes actions» à prendre. Et ils vont engloutir encore plus d’argent là-dedans! Si la ministre avait une baguette magique, elle pourrait faire disparaître le problème. Mais comme elle n’en a pas, elle va prendre quelques millions de dollars de fonds publics et faire disparaître le problème – de sa cour, en tout cas. Qui sait, avec un peu de chance, elle n’aura pas à expliquer elle-même pourquoi la nouvelle phase du «plan d’action» n’a pas porté fruit.
La seule solution contre le taxage c'est que la victime donne une bonne dérouille au taxeur (devant tout le monde de préférence).
Pas cher et efficace. Mais non, je me souviens si bien "Vous devez dénoncer" et non pas "Vous devez vous défendre", c'est pas perdant comme idée en plus d'être inefficace ?
Rédigé par : Bobjack | 31 mars 2011 à 18h36
Bobjack, vous n'avez pas honte ! C'est par le « dialogue » et la « conciliation » avec les petites brutes qu'on règle les problèmes de taxage et d'intimidation...
Je blague.
À CHOI, je me rappelle avoir entendu l'animateur Dominic Maurais dire qu'on devrait peut-être remplacer les ridicules cours d'éthique et culture religieuse par des cours d'auto-défense.
Ce serait, à mon avis, une excellente idée. Et ça rendrait sans doute un peu moins audacieux les petits « bums » de polyvalente...
Rédigé par : B. Vallée | 31 mars 2011 à 20h16
''The more plans fail the more the planners plan.''
Ronald Reagan - 1964 Republican National Convention
Rédigé par : H. Bernard | 31 mars 2011 à 20h29
Imaginez une ministre de l'éducation qui répondrait, simplement, que la gestion des cours d'école, CE N'EST PAS SA JOB!
Que les enseignants et les directions d'écoles ont la responsabilité de leur cour d'école. Que c'est vers eux que les parents doivent se tourner s'il y a des problèmes de taxage et d'intimidation!
Mais faut-il être conditionné à accepter une hiérarchie factice pour croire qu'une ministre a plus de pouvoir que les enseignants sur les chicanes d'élèves?
Existent-ils encore des problèmes au Québec que les gens, par leur initiative personnelle ou collective, peuvent régler sans fonctionnaires?
L’Église a déjà dominé le Québec, mais ce n'était rien à côté de la servitude vers laquelle tous les rapports sociaux tendent de plus en plus. La domination cléricale touchait les moeurs, mais la contribution financière restait volontaire. Et les impies pouvaient toujours se sauver dans les bois ou à Montréal, ville débauchée et protestante.
Aujourd'hui, quel espace de liberté reste-t-il au Québécois?
Rédigé par : Pasquinel | 31 mars 2011 à 21h38
@B. Vallée
Oublie ça l'auto-défense, ils vont te répondre que sa risque d'augmenter la criminalité et de créer une génération de super-bum, c'est à la police de régler tout.
Ensuite, ils vont demander un registre national du karaté et des arts martiaux et les conservateurs vont passer pour une bande de malade en voulant mettre une exception sur le yoga.
Rédigé par : Bobjack | 31 mars 2011 à 22h21
«À CHOI, je me rappelle avoir entendu l'animateur Dominic Maurais dire qu'on devrait peut-être remplacer les ridicules cours d'éthique et culture religieuse par des cours d'auto-défense.
Ce serait, à mon avis, une excellente idée. Et ça rendrait sans doute un peu moins audacieux les petits « bums » de polyvalente...»
Je ne sais pas si ces cours, dans l'improvisation de leur organisation et dans les réformes annuelles du programme faites à Québec, ne tourneraient pas un peu beaucoup justement comme ceux d'ÉCR, d'histoire ou d'économie, bref, fortement teintés des idéologies contemporaines dominantes...
Vous savez, je connais des gens qui enseignent maintenant et qui croit, qu'en toute situation, la seule option à ne jamais prendre, c'est celle qui consiste à se défendre (physiquement et/ou psychologiquement).
Et pourtant, son opposé, c'est quoi? Subir et accepter de subir?
Rédigé par : Mathieu | 31 mars 2011 à 22h42
Ainsi le "taxage" des élèves dans les cours de nos écoles serait une action répréhensible mais la même activité (extorsion, pillage, racket en tout genre) exercée par un État serait "sôôôcialement acceptable"...
Hum...
Rédigé par : François 1 | 01 avril 2011 à 04h30
Pour ceux qui n'ont pas encore lu ce texte:
***
"Michel va dans la forêt après la classe, il montre son couteau à Jean avec lequel il pense se fabriquer un lance-pierre.
Année 1964 :
Le directeur voit son couteau et lui demande où il l’a acheté pour aller s’en acheter un pareil.
Année 2011 :
L’école ferme, on appelle la POLICE, on emmène Michel en préventive. TVA monte le cas en épingle aux informations, en direct depuis la porte de l’école.
*************
Discipline scolaire
Année 1964 :
Tu fais une bêtise en classe. Le prof t’en colle deux. En arrivant chez toi, ton père t’en recolle deux autres.
Année 2011:
Tu fais une bêtise. Le prof te demande pardon. Ton père te demande pardon et t’achète une moto.
************
Franck et Marc se disputent et se flanquent quelques coups de poing après la classe..
Année 1964 :
Les autres les encouragent, Marc gagne. Ils se serrent la main et ils sont copains pour toute la vie.
Année 2011:
L’école ferme. TVA souligne la violence scolaire, Radio-Canada en fait sa une et le journal consacre 5 colonnes à «l’affaire».
*************
Eric casse le pare brise d’une voiture du quartier, son père sort le ceinturon et lui fait comprendre les choses.
Année 1964 :
Eric fera plus attention la prochaine fois, grandit normalement, fait des études, va à l’Université et devient un excellent homme d’affaires.
Année 2011 :
La police arrête le père d’Eric pour maltraitance sur un mineur. Eric rejoint une bande de délinquants. Le psy arrive à convaincre sa soeur que son père abusait d’elle et on le met en prison.
****************
A la course à pied, Jean se blesse au genou et pleure. Sa prof Jocelyne le rejoint, le prend dans ses bras pour le réconforter.
Année 1964 :
En deux minutes Jean va beaucoup mieux et continue la course.
Année 2011 :
Jocelyne est accusée de perversion sur mineur, se retrouve au chômage et est condamnée à 3 ans de prison. Jean vogue de thérapie en thérapie pendant 5 ans. Ses parents réclament des dommages et intérêts à l’école pour négligence et à la prof pour traumatisme émotionnel. Ils gagnent les deux procès. La prof, au chômage et endettée, se suicide.
***************
Arrive le 28 octobre.
Année 1964:
Arrive le jour du passage de l’horaire d’été à l’heure d’hiver. Rien d’autre à signaler.
Année 2011 :
Arrive le jour du changement d’horaire d’été à l’heure d’hiver.
Les gens souffrent d’insomnie et de dépression.
Bonne année 2011 à tous...
Rédigé par : Sébas | 01 avril 2011 à 07h09
J'ai fait ma petite école chez les frères Sainte-Croix. C'était dans Hochelaga-Maisonneuve, et des durs, des vrais, on en avait. Croyez moi, les frères Sainte-Croix réglaient les problèmes de la cour d'école avec brio... c'était pas long... et parfois, très spectaculaire. Quels bons souvenirs!
Rédigé par : H. Bernard | 01 avril 2011 à 07h28
@H.Bernard:
"Quels bons souvenirs!"
En effet. Apres un an perdu a l'ecole primaire publique, ou les bonnes ames de go-goche laissaient les voyous em...der tout le monde au nom de la rectitude politique, mes parents se sont decides a m'inscrire chez les Eudistes: virage a 180 degres, et plus aucun probleme avec les "bullies". Une seule taloche du pere de P... pouvait propulser un tannant au travers de la salle de classe, et on avait la sainte paix pour un moment!
Rédigé par : Pierre-Yves | 01 avril 2011 à 10h05
Au début des années 70, nous étions au centre-ville de Montréal en train d'attendre devant un musée... et je criais comme un déchainé (me souviens plus pourquoi...j'étais en maternelle.), et une soeur "old school" (c'est le cas de le dire... et oui, il en restait UNE dans cette école publique), ma pris par les cheveux et mes petits pieds ne touchaient plus le sol... et j'ai vu de belles petites étoiles... ;-)
Pas besoin de vous dire que je n'ai pas crié -en public- après ça... pour un méchant bon "boutte de temps". ;-)
Aujourd'hui, cette soeur aurait probablement vécu quelque chose comme ceci(voir mon message ci-dessus):
"Jocelyne est accusée de VIOLENCE sur mineur par la DPJ, se retrouve au chômage et est condamnée à 1 ans de SUSPENSION et dois passer par mille et une "procédures". Je vogue de thérapie en thérapie pendant 5 ans. Mes parents réclament des dommages et intérêts à l’école pour négligence et à la prof pour traumatisme émotionnel. Ils gagnent les deux procès. La prof, au chômage et endettée, se suicide."
***
Le Québec -et l'occident?- sont rendus des "enfers légaux" et thérapeutiques, basés sur les ***émotions bien intentionnées***...
Mais au moins ça fait travailler une armée de "lologues" et de "spécialistes" de tout acabit (sic?) !
En tout cas, nous sommes vraiment passés d'un extrême à l'autre...
Rédigé par : Sébas | 01 avril 2011 à 13h06
p.s.
En passant, j'ai presque toujours des "plus faibles"... et lorsque le sang coulait (souvent pas du tout), JAMAIS un prof nous a dit "il ne faut pas régler les problèmes comme ça, la violence ça ne règle rien et blablabla".
Il faut apprendre aux jeunes la différence entre la violence gratuite et la violence pour se DÉFENDRE ou pour DÉFENDRE les AUTRES !
Une vidéo à regarder ABSOLUMENT:
"Casey" THE PUNISHER" Haynes Interview. The kid who beats down his bully"
http://www.youtube.com/watch?v=JCejbz22y2w&feature=related
Rédigé par : Sébas | 01 avril 2011 à 13h22
"j'ai presque toujours défendu les "plus faibles"
Rédigé par : Sébas | 01 avril 2011 à 13h24
« Mais faut-il être conditionné à accepter une hiérarchie factice pour croire qu'une ministre a plus de pouvoir que les enseignants sur les chicanes d'élèves?
Existent-ils encore des problèmes au Québec que les gens, par leur initiative personnelle ou collective, peuvent régler sans fonctionnaires? » (Pasquinel)
Voilà l'amorce d'une intéressante réflexion. Et j'aime beaucoup l'expression « hiérarchie factice »...
Rédigé par : B. Vallée | 01 avril 2011 à 13h59
Nous vivons aujourd'hui dans une société maternante et moumounisée. Les gens ne savent plus réagir face à une agression.
Les comportements agressifs dans les écoles ne datent pas d'aujourd'hui. Ça existait dans les années 50 quand je fréquentais l'école. La majorité réagissait en faisant face et le problème se résolvait sans délation. Parfois on gagnait, parfois on perdait mais même en perdant généralement on gagnait le respect ou à tout le moins on décourageait notre agresseur. Le propre de l'agresseur est qu'il se désintéresse quand ça chauffe trop, c'est généralement un peureux. Souvent les parents et les professeurs n'étaient pas mis au courrant. Je ne connais personne de mon époque qui soit devenu suicidaire à cause de ça. On appelle ça l'apprentissage de la vie.
Rédigé par : Gilles Laplante | 01 avril 2011 à 21h34
@ Oui Gilles Laplante :
Ça forme le caractère... autant pour les "agresseurs(sic) qui rencontrent leur Waterloo", que "les timorés qui finissent par se tannés" et c'était comme ça dans "mon temps" à moi aussi:
"La majorité réagissait en faisant face et le problème se résolvait sans délation. Parfois on gagnait, parfois on perdait mais même en perdant généralement on gagnait le respect ou à tout le moins on décourageait notre agresseur."
Et souvent on devenaient de bons amis...
Pif-paf, t'es plus mon ami ou paf-pif, t'es mon ami à vie.
:-)
Haha, "j'entends" les "castratrices" d'aujourd'hui pousser les hauts cris en lisant nos commentaires...
***
@ Tous:
Je tiens à vous dire que j'ai BEAUCOUP aimé TOUS les commentaires ici... et j'ai aussi bcp aimé le texte de Gilles Guénette. Et je le dis, car c'est rare que ça arrive. ;-) J'aurais seulement une petite nuance à faire concernant un commentaire (celui de Pasquinel concernant la ville de Montréal pré-révolution tranquille), mais ce n'est vraiment pas très grave...
Rédigé par : Sébas | 02 avril 2011 à 08h50
Correction + précision pour les français:
"que les timorés qui finissent par se tannER" (ou qui finissent par s'écœurer)
Rédigé par : Sébas | 02 avril 2011 à 09h01
Je m'excuse, mais si les petits bums ne pouvaient plus taxer et dépenser le magot avec leurs amis, notre économie risquerait de manquer de "stimulus" en ces temps difficiles. Heureusement, les élections s'en viennent et on pourra se voter de nouvelles taxes au cas où.
Rédigé par : Bastiat79 | 02 avril 2011 à 17h40
Je n'aime peu jouer le jeu du sociologue, mais il est évident que l'état et le nationalisme étatique ont simplement remplacé la religion d'autrefois. Du pareil au même.
Autrefois, les Canadiens-Français plus libéraux allaient à Ottawa ou aux États-Unis. Or, cela n'a pas changé aujourd'hui. Le paternalisme religieux a simplement été substitué par un mélange de paternalisme étatisme et de nationalisme.
Et encore, à l'époque du Duplessis c'était des routes et des ponts et aujourd'hui c'est à la puissance 100 000 sans que personne ne fasse de cas. On a trouvé des millions de différentes clientèles à acheter par la force des choses.
Rédigé par : Mathieu NV | 02 avril 2011 à 21h47
"Le paternalisme religieux a simplement été substitué par un mélange de paternalisme étatisme..."
Vous auriez dû dire que le "paternalisme religieux" a été substitué par un "maternalisme étatique". Cela correspond plus à la réalité et ça aide à comprendre l'énorme différence dans la façon de traiter les "bullies" entre l'époque décrite par H. Bernard et aujourd'hui.
Rédigé par : Jonathan | 03 avril 2011 à 20h51
C'est normal que le taxage et l'intimidation soit à la mode dans les écoles, c'est à la mode chez les adultes étatistes!
Rédigé par : David Gendron | 04 avril 2011 à 14h35
Il ne faut pas oublier que les cours d'auto-défense peuvent aussi bien servir aux taxeurs qu'aux taxés. Par contre, dans la mesure ou on apprend a se défendre, on sait que l'autre a aussi des atouts..
Cela peut devenir un moyen légerement dissuasif, mais rappelons aussi que les taxeurs se servent de leur nombre pour intimider les plus solitaires.
Donner le pouvoir aux écoles de décider et de prendre les décisions face aux agresseurs, et faire appel a la justice pour punir les actes criminels.
Rédigé par : Jfboulay | 06 avril 2011 à 12h09
Premièrement,je suis d'accord sur les cours d'auto-défense, cela pourrait aider justement les jeunes à canaliser leur agressivité, se contrôler et voire même leur donner plus confiance en eux.
Deuxièmement,je travaille avec des enfants en garderie,et je constate que l'agressivité existe chez les couches-culottes. Alors ne serait-ce pas les parents qu'il faudrait rééduquer? De leur apprendre les bonnes manières, dire bonjour, s'il vous plaît, merci, au revoir...c'est la moindre des choses. Les adultes sont déjà eux-mêmes impolis.
Vous savez un bonjour fait du bien même si on ne se connaît pas, ou bien un sourire malgré le mauvais temps.
L'enfant reproduit souvent les gestes, les mots des parents.
Je ne suis pas psychologue, uniquement une maman, une éducatrice qui souhaiterait voir tous ces enfants grandir dans la joie, la sereinité, le partage et bien sur l'amour de ses parents, ses amis ... Il y a trop de laxismes, et les jeunes ont besoin d'encadrement donc ils font tout pour tester leurs limites.
Rédigé par : Marie | 12 avril 2011 à 13h43
Il est vrai que la baguette magique pourrait faire disparaître beaucoup d'autres problèmes.
Article très intéressant.
Bon courage.
Rédigé par : APPRENDRE POWERPOINT | 17 mai 2011 à 10h54
La seule facon que jai trouvé pour que les attardés du secondaire arretent de m'écoeurer c'est de leur casser une chaise derriere la tête. BLOOD FOR BLOOD!
Rédigé par : inthepresenceofmyenemies | 15 juillet 2011 à 22h23